Raideurs des interphalangiennes et rééducation : analyse et traitement (2e partie)
Béatrice Chapin-Bouscarat
Kinésithér Scient 2013,0547:85-86 - 10/10/2013
Les raideurs des inter-phalangiennes distales sont fonctionnellement beaucoup moins gênantes car elles peuvent être compensées par une bonne mobilité MP + IPP.
La même démarche d'analyse étiologique met en évidence des origines diverses : cutanées, tendineuses, capsulo-ligamentaires ou ostéo-articulaires. Au niveau des raideurs IPD, les problèmes de la rééducation sont liés, d'une part à la faiblesse du bras de levier sur P3 opposé à un tendon du FCP très puissant et, d'autre part à la présence de l'ongle qui, sur un doigt traumatisé, est très souvent algique. Le traitement est donc avant tout préventif.
La même démarche d'analyse étiologique met en évidence des origines diverses : cutanées, tendineuses, capsulo-ligamentaires ou ostéo-articulaires. Au niveau des raideurs IPD, les problèmes de la rééducation sont liés, d'une part à la faiblesse du bras de levier sur P3 opposé à un tendon du FCP très puissant et, d'autre part à la présence de l'ongle qui, sur un doigt traumatisé, est très souvent algique. Le traitement est donc avant tout préventif.