Antidépresseurs
L’avertissement
La revue Prescrire a actualisé, dans son numéro de février, sa liste “des médicaments à écarter des soins et à remplacer par de meilleures options car leur balance bénéfices-risques est défavorable dans toutes leurs utilisations” (article à lire en cliquant ici). Sept antidépresseurs figurent dans cette liste de 74 médicaments jugés plus dangereux qu’utiles, parce qu’ils exposent plus que les autres le consommateur à des risques graves sans avoir une meilleure efficacité, estime la revue : l’agomélatine (Valdoxan), la duloxétine (Cymbalta ou autre), le citalopram (Seropram, Celexa…), l’escitalopram (Seroplex, Lepraxo, Cipralex…), le milnacipran (Ixel ou autre), la venlafaxine (Effexor LP ou autre), et la tianeptine (Stablon ou autre).

Coaching en ligne
Malakoff Médéric avance
Malakoff Médéric étoffe son programme de prévention et de coaching virtuel “Vigisanté” en proposant à ses assurés un “rendez-vous santé” par téléphone avec un professionnel de la plateforme “Bien-être assistance”. Cette proposition est destinée aux “salariés ayant un profil de risques santé majorés”. Vigisanté est intégré aux garanties collectives d’assurance santé et “permet, au travers d’un questionnaire interactif, de déterminer le profil de risque du salarié pour lui proposer des programmes de e-coaching adaptés à ses besoins et à sa motivation”, explique l’assureur.
Disponible sur PC, tablette et mobile, il peut intégrer des données transmises par des objets connectés d’auto-mesure, qui ne sont accessibles “ni à l’employeur, ni à Malakoff Médéric”, précise l’assureur.

Le chiffre
1,5 million d’euros
C’est le montant de l’enveloppe que distribuera cette année l’association Vaincre la mucoviscidose à 48 centres de ressources et de compétences de la mucoviscidose (CRCM) et réseaux de soins, ainsi qu’à 94 professionnels de santé.

Objets connectés
La HAS veille
La Haute autorité de santé (HAS) va plancher sur un référentiel de bonnes pratiques en matière de santé connectée. Elle a fait appel pour cela à une quinzaine de professionnels de santé férus de ces technologies, qui devraient se réunir pour une première séance de travail “au premier trimestre 2016”.

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